Crédits photos © Capture d’écran Internet
Le 23 octobre 1983, l’armée française subissait un attentat terroriste d’une ampleur inédite au Liban.
31 ans après l’attaque sur le poste français Drakkar à Beyrouth au Liban, le traumatisme est encore fort dans la mémoire collective au sein de l’armée française, en particulier pour les militaires français déployés dans la capitale libanaise au moment de cette attentat.
Ce jour-là, en début de matinée, un camion explose sur l’aéroport de Beyrouth où plusieurs centaines de militaires américains sont stationnés. 241 soldats américains sont tués dans l’explosion. De manière parfaitement coordonnée, une deuxième explosion retentit quelques instants plus tard sur la base française à quelques kilomètres de là. 58 parachustistes sont tués dans ce deuxième attentat, les militaires français appartenant au 1e RCP et au 9e RCP.
On peut lire ici le discours du ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, au cours d’une commémoration qui s’est tenue à l’Hôtel de Brienne.