(source: Ouest France)
Si les militaires ou les fonctionnaires exerçant des missions de défense ou de sécurité faisaient l’objet d’une enquête préalable à leur embauche, pour vérifier notamment qu’ils n’adhéraient pas aux thèses de l’islamisme radical, rien n’était prévu pour faire face à la situation d’un soldat ou gendarme radicalisé après son entrée dans l’administration, comme le rappelle l’AFP.
Le décret 2018-135 du 27 février prévoit donc la création d’un conseil permettant aux autorités militaires, après une enquête administrative, de radier des cadres ou résilier le contrat d’un soldat ou officier “dont le comportement est devenu incompatible avec l’exercice de ses fonctions eu égard à la menace qu’il fait peser sur la sécurité publique”.
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