(Source : Bruxelles B2 – Nicolas Gros-Verheyde) – Dans le port et la ville de Beyrouth, les militaires de l’opération Amitié se déploient
(…) La première impression est naturellement à la hauteur de la catastrophe. « On ne peut être que frappé, quand on arrive, par l’importance des dégâts, la violence de l’explosion, le paysage dévasté dans la zone portuaire. Tout est retourné », explique à B2 le col. Antoine de La Bardonnie qui commande le GT (Groupement Tactique) Terre ‘Ventoux’. L’impact est « significatif » : « une partie des quais s’est effondrée. La base navale a été partiellement détruite. Les bureaux du port ont été touchés. » (…)
La première action des militaires français a été de décharger les tonnes d’aide humanitaire. Une aide transférée à l’hippodrome, où elle est répartie entre les ONG et les autres organisations sous l’égide de l’armée libanaise et de l’ambassade de France. (…)
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Photo © DICoD, telle que publiée dans ibid
