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[slidepress gallery=’400-pomlt-la-courtine’] Dernier camp de formation des POMLT Gendarmerie avant leur déploiement en Afghanistan, Sandra Chenu Godefroy, camp de la Courtine, septembre 2010 Les gendarmes …

Par Jean-Marc Tanguy
21/02/2011 – La légende veut déjà que c’est pour rappeler que le 1er RCP avait été formé et équipé par la 82nd Airborne pendant la seconde guerre mondiale, que le bataillon interarmes formé par ce régiment de Pamiers portera un nom anglo-saxon, en Afghanistan.

6/12/2010 – vidéobrève
Les Américains s’appuient régulièrement sur les chars canadiens pour un renfort appui-feu direct en Afghanistan: la décision de déployer seize Abrams semble donc moins un signe d’escalade qu’un effort visant à compenser le départ des Leopards canadiens prévus dans les mois qui viennent.

15/11/2010 – Photobrève
De l’usage du mulet en OPEX

Photos des bataillons à l’entraînement et en opération en Afghanistan.

Par le Général Gaviard

Pendant la célèbre “Bataille d’Angleterre” l’Air Marshall Sir Hugh Dowding commandait et contrôlait les opérations aériennes depuis son centre de Stanmore situé au nordde Londres en faisant “tourner”, sans le savoir, la fameuse boucle : “Observation, Orientation, Décision, Action” qui sera modélisée bien plus tard par le Colonel Boyd de l’USAF, et qui prévaut toujours dans le fonctionnement des centres actuels.

Ainsi, les officiers et sous-officiers, en particulier féminin (les WAAF), en place dans le C2 de Stanmore “observaient” dans un premier temps les éléments en provenance des différents guets aériens postés sur la côte anglaise et des radars dont on ne dira jamais assez le rôle essentiel dans le succès de cette bataille aérienne. A partir de ces observations, les responsables pouvaient “orienter” l’action à venir, puis “décider” du plan d’engagement. Plus précisément cette phase permettait de mettre en alerte les pilotes des célèbres Spitfire et les canons anti- aériens concernés par l’attaque à venir, ainsi que de prévenir les unités chargées de déployer les ballons dont le rôle consistait à gêner les tirs des bombardiers allemands sur Londres.

PAR LE GENERAL JEAN-PATRICK GAVIARD
Dans la perspective du sommet de l’Otan, le Président de la République proposait récemment à l’ensemble de ses homologues une « approche globale » dans le cadre de la résolution de la crise en Afghanistan. Une approche globale, c’est à dire une prise en compte de tous les paramètres de stabilisation d’un pays en crise, qui intègre bien entendu des aspects militaires mais aussi de reconstruction sous la responsabilité d’organisations exclusivement civiles. Une manière, en somme, de pérenniser les résultats d’une opération militaire coercitive, qui sans cette approche verrait ses acquis s’évanouir au vent des haines historiques dès le départ du dernier soldat engagé. C’est, entre autres, cet aspect de sortie de crise qui rend les équations afghane et irakienne si difficiles à résoudre…

Le centre logistique de Montereau a commencé à réceptionner en septembre 2009 les douze premiers CCP10 blindés destinés à l’armée de terre et six d’entre eux ont déjà rejoints l’Afghanistan.

Un maintenancier de la VMA 261 (Marine Attack Squadron 261) explique les procédures de maintenance de l’Osprey V-22, premier hélicoptère à rotors basculants (« tilt rotors »), déployé pour la première fois en Afghanistan depuis novembre 2009.

Les retours d’expérience concernant les Tigres au cours de ces six derniers mois en Afghanistan sont unanimes, quant à leur bon taux de disponibilité opérationnelle en environnement (particulièrement) hostile…

Les retours d’expérience concernant les Tigres au cours de ces six derniers mois en Afghanistan sont unanimes, quant à leur bon taux de disponibilité opérationnelle en environnement (particulièrement) hostile…