Le CDAOA, « cerveau et système nerveux » de l’AAE
Source : DICoD – Comme chaque année le Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) publie sa rétrospective annuelle. A l’honneur en …
Source : DICoD – Comme chaque année le Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes (CDAOA) publie sa rétrospective annuelle. A l’honneur en …
Source : Armée de l’Air et de l’Espace / CDAOA / Extrait de la Rétrospective 2021 (pages 19 et 20) – Entretien avec le Joint …
By Murielle Delaporte – This is a long version of an article published in Breaking Defense on April 9th, 2021. Last month was held the …
(Source : Commandement de la défense aérienne et des opérations aériennes, Armée de l’Air et de l’Espace) – Prise d’alerte de la NATO Response Force …
(Source : www.assemblee-nationale.fr) – Extrait du Rapport d’information déposé par la Commission de la défense et des forces armées sur l’action aérospatiale de l’Etat et …
Entretien avec le Colonel, Jérôme Bellanger, Commandant de la BA 113 « Commandant Antoine de Saint-Exupéry », Saint-Dizier.
Par le Général Gaviard
Pendant la célèbre “Bataille d’Angleterre” l’Air Marshall Sir Hugh Dowding commandait et contrôlait les opérations aériennes depuis son centre de Stanmore situé au nordde Londres en faisant “tourner”, sans le savoir, la fameuse boucle : “Observation, Orientation, Décision, Action” qui sera modélisée bien plus tard par le Colonel Boyd de l’USAF, et qui prévaut toujours dans le fonctionnement des centres actuels.
Ainsi, les officiers et sous-officiers, en particulier féminin (les WAAF), en place dans le C2 de Stanmore “observaient” dans un premier temps les éléments en provenance des différents guets aériens postés sur la côte anglaise et des radars dont on ne dira jamais assez le rôle essentiel dans le succès de cette bataille aérienne. A partir de ces observations, les responsables pouvaient “orienter” l’action à venir, puis “décider” du plan d’engagement. Plus précisément cette phase permettait de mettre en alerte les pilotes des célèbres Spitfire et les canons anti- aériens concernés par l’attaque à venir, ainsi que de prévenir les unités chargées de déployer les ballons dont le rôle consistait à gêner les tirs des bombardiers allemands sur Londres.