Le bataillon logistique “croix du sud” commandé par le colonel Barbe, chef de corps du 515e régiment du Train, a opéré du 11 juin au …
Entretien avec le L’adjudant-chef Laurent S. responsable du dépôt munition de Bamako.
Une étude récente de l’Institut des études environnementales de l’armée de terre (AEPI – Army Environmental Policy Institute) faisait le constat suivant : en 2008, les Etats-Unis dépensaient plus pour climatiser leurs tentes et préfabriqués en Irak et en Afghanistan que le budget de la NASA, tandis qu’un convoi de carburant sur vingt-quatre déplorait la perte d’un soldat. Constat partagé, toutes proportions gardées, par les armées françaises, en ce sens que, suivant à la fois l’évolution des attentes de la société et l’allongement des interventions militaires, les conditions de vie des soldats en opérations ont vu leurs coûts croître de manière considérable. Ces coûts, à la fois financiers et humains, atteignent désormais des sommets difficiles à soutenir à long terme.
William Anderson recut de George Bush la « Presidential Award for Leadership in Federal Energy Management ». Ses responsabilités au sein de l’armée de l’air américaine sous le commandement du General Moseley dans les années 2000 le conduisirent notamment à travailler de concert avec ses homologues européens sur la recherche de carburant alternatif. Il dirige actuellement Anderson Global Innovation Group, une compagnie basée aux Etats-Unis et en Allemagne spécialisée en particulier dans la commercialisation de technologies énergétiques. Cet article reprend et résume ses analyses, au sein desquelles il décrit en particulier les origines des avancées du Pentagone dans ce domaine, mais aussi les erreurs à ne pas commettre.
Defence Logistics is back and bigger than ever before. With keynote presentations from 7 Generals from the USA, the UK, Germany, and the EU, this …
CORINE : EUROCOPTER et les PME prêtes à déployer un outil d’éco-conception très innovant Eurocopter, en collaboration avec les PME et les partenaires de recherche, …
Mesdames et Messieurs les élus, Mon général, Messieurs les chefs d’état-major, Mesdames et Messieurs, Je voudrais avant tout partager avec vous l’expérience que nous venons …
Entretien avec le Général de corps aérien Jean-Marc Laurent, Commandant du Commandement du soutien des forces aériennes.
Entretien avec le Colonel Vélut, Chef de Corps du BATLOG et COMSIT
C’est dans le camp de Gao, centre de gravité des opérations situé « à l’emplacement exact où entre 1941 et 1943 une Compagnie Auto du Train des Forces Françaises de l’Afrique organisait des convois au profit de Forces Françaises Libres », que le commandement du Bataillon Logistique (BATLOG) a rapidement été basé afin de pouvoir initialement ravitailler les forces déployées dans le cadre des opérations menées autour de Gao et dans les Adrars. Son Chef de corps – également Chef de corps du 511e Régiment du Train -, le Colonel Jean-Louis Vélut explique dans le cadre de cet entretien réalisé mi-avril que, si l’histoire semble parfois bégayer, Serval augure des opérations logistiques de demain, tant par la nature austère du théâtre et l’optimisation de moyens de plus en plus comptés, que par une adaptation tactique ayant nécessité la mise en œuvre de véritables raids logistiques donnant tout son sens au concept de « combattant-logisticien agissant au cœur et au profit des forces» cher au général Jacquement, commandant la 1ère brigade logistique dont est issu le BATLOG.
Entretien avec Merry Michaux, Vice-Président en charge des activités de Soutien & Service Client pour l’Aéronautique de Défense chez Thales.
Entretien avec le Colonel Gonzales, responsable du Rôle 2 de Bamako
Hors OPEX, le médecin en chef des armées Gonzales est chirurgien orthopédiste à l’hôpital Sainte Anne de Toulon et professeur agrégé du Val de Grâce. Bien qu’ayant ouvert le Rôle 3 de KAIA (Kaboul International Airport) avec son équipe en 2009, il note à propos du Mali : « cela faisait longtemps que je n’avais pas travaillé dans ces conditions-là. Nous y sommes habitués, en ce sens que nous nous entraînons pour cela, mais dans la réalité, la [rusticité du terrain] constitue quand même une particularité ».Dans cet entretien réalisé en avril dernier pendant la dernière phase de Serval, il présente le Rôle 2 de Bamako qu’il dirigeait alors et explique les spécificités du soutien santé « à la française » pour faire face au contexte particulièrement ardu de cette opération marquée par trois grandes caractéristiques : l’entrée en premier nécessitant l’installation en un temps record de structures médicales réactives ; le volume de la force déployée requérant une anticipation des moyens et des besoins médicaux au « juste à temps » ; les élongations face auxquelles le concept français de médicalisation de l’avant allié à une chaîne d’évacuation et rapatriement sanitaires performante ont fait leurs preuves sur un théâtre éprouvant.
Entretien avec le colonel C. J1 Pamir
Lors de cet entretien réalisé début juin 2012, le colonel C s’apprêtait à l’issue de six mois de service en Afghanistan à rentrer en métropole deux jours plus tard : un processus de relève qu’il a dû gérer au quotidien pour relever le principal défi de son service chargé des mouvements et de la gestion du personnel sur le théâtre, à savoir « faire en sorte que lorsque quelqu’un pose le pied sur le théâtre, nous soyons capables de le mettre dans l’avion de retour à la date exacte de sa fin de mandat. » Il nous explique la complexité d’une finalité en apparence simple.
Lors de cet entretien réalisé début juin 2012, le colonel C s’apprêtait à l’issue de six mois de service en Afghanistan à rentrer en métropole deux jours plus tard : un processus de relève qu’il a dû gérer au quotidien pour relever le principal défi de son service chargé des mouvements et de la gestion du personnel sur le théâtre, à savoir « faire en sorte que lorsque quelqu’un pose le pied sur le théâtre, nous soyons capables de le mettre dans l’avion de retour à la date exacte de sa fin de mandat. » Il nous explique la complexité d’une finalité en apparence simple.
Entretien avec le lieutenant-colonel Didier Le Flanchec, COMDETIA, Douchanbé, Tadjikistan
Le lieutenant-colonel Le Flanchec, issu de la Base aérienne d’Orléans, est actuellement déployé au Tadjikistan. Il nous explique sa mission au DETIA de Douchanbé.
Entretien avec Monsieur Jean-Louis Rotrubin, Président-Directeur Général de DCI et d’HeliDax. Par Manuella Benquey – Le Vaillant.
Ce récit décrit trois jours de convoi logistique entre Bamako et Gao réalisés entre le 12 et 14 avril 2013 à partir de photos et de témoignages recueillis sur la route.
Entretien avec le lieutenant G. chef de peloton de circulation routière au 121e régiment du Train.
Entretien avec le lieutenant-colonel Denis Caillaud Chef de l’appui au déploiement, 25e régiment du Génie de l’air.
Par le Commandant David Velasquez Portella, stagiaire de la 21ème Promotion de l’École de Guerre
Jamais (les Anglais -eux- en avaient une forte conscience et l’ont souvent écrit) les Alliés n’auraient pu tenir et finalement gagner la guerre sans la …
Cet ouvrage paru il y a quelques années constitue dans la bibliographie actuellement disponible la présentation la plus large et la plus complète de l’action du service de santé pendant la Grande Guerre.
Septembre – vidéo
La Turquie a commandé 10 A400M : le premier d’entre eux a effectué son vol inaugural le 9 août dernier.
“7 jours BFM” a suivi en décembre 2012 le départ d’Afghanistan des derniers soldats combattants français. Reportage au cœur d’une gigantesque opération logistique dans un …
Par le lieutenant L, du DETIA de KAIA.
Par Jean-Paul Pancracio, Professeur à la faculté de droit et des sciences sociales de Poitiers.
Entretien avec le commandant P., commandant du groupement postal 240, Camp de Warehouse, Kaboul, Afghanistan.
Par Jean-Paul Pancracio, Professeur à la faculté de droit et des sciences sociales de Poitiers.
16/10/2012 – Communiqué
Thales, partenaire de confiance de la DIRISI pour son futur système d’information logistique
13 septembre 2012 – Vu sur le web
Le nouveau design choisi doit permettre de réduire la consommation en combustible de 20% par conteneur.
04/11/2011 – Communiqué
Nouvelle étape dans son processus de certification, l’A400M vient de démontrer sa capacité à se poser et décoller sur pistes inondées sans que ses moteurs ne prennent l’eau.