Le DETIA de KAIA : Une assistance sans relâche
Par le lieutenant L, du DETIA de KAIA.
Par le lieutenant L, du DETIA de KAIA.
Par Jean-Paul Pancracio, Professeur à la faculté de droit et des sciences sociales de Poitiers.
Entretien avec le commandant P., commandant du groupement postal 240, Camp de Warehouse, Kaboul, Afghanistan.
Par Jean-Paul Pancracio, Professeur à la faculté de droit et des sciences sociales de Poitiers.
16/10/2012 – Communiqué
Thales, partenaire de confiance de la DIRISI pour son futur système d’information logistique
29/05/2012- Brève
Par Manuella Benquey – Le Vaillant
L’automne aquitain sera aéronautique. Alain Rousset, président de région, l’a affirmé à la Maison de l’Aquitaine à Paris le 23 mai dernier lors de la présentation à la presse des Journées aéronautiques en Aquitaine.
Par Murielle Delaporte
11/01/2012 – Etats-Unis
Les nouvelles orientations stratégiques américaines doivent servir de guide pour définir le format, les missions et les moyens des forces armées sur la période 2013-2020.
Entretien avec l’IGA Labrande, directeur central du SSF
27/10/2010 – “Notre mission consiste à assurer la disponibilité technique des bâtiments en maîtrisant les coûts et contribuer ainsi à satisfaire les contrats organiques et opérationnels. Pour ce faire, nous mettons tout en œuvre pour garantir le meilleur niveau de professionnalisme dans l’exercice de la fonction de maître d’ouvrage du MCO naval et des pyrotechnies. L’objectif fixé par l’Etat Major de la Marine est une disponibilité technique de la flotte supérieure à 70 %. Cela signifie qu’en moyenne chaque bâtiment est disponible plus de 70 % du temps ou que chaque jour plus de 70 % de la flotte est disponible. Cet objectif est régulièrement atteint depuis 2007.”
Par le Lieutenant-Colonel Le Doze
02/10/2010
Parmi les projets en cours, l’un mérite plus particulièrement qu’y soit consacré un développement un peu plus large, car il se révèle structurant pour la réussite de l’objectif qui demeure la certification. Ce projet concerne la création d’une entité de soutien logistique directement adossée à l’ESTA et située géographiquement au plus près des activités de maintenance ou de mise en œuvre. Une division de ravitaillement et de soutien des utilisateurs (DRSU) verra ainsi prochainement le jour, laquelle restera hiérarchiquement dépendant de l’ESRT, mais sera rattachée fonctionnellement à l’ESTA au profit duquel elle exercera l’ensemble des ses prestations de service.
Ici, c’est la province de Kapisa, en Afghanistan, une zone sous responsabilité de l’armée française, où les combats et les utilisations d’engins explosifs par les insurgés sont fréquents.
Par Amélie Spire
Le Puma attire l’attention par son âge et son importance au sein des armées. Appartenant à la catégorie dite des transports légers, cet hélicoptère doit satisfaire à des objectifs précis pour mener à bien des missions variées. Il doit pouvoir transporter douze hommes et trois cent kilos de matériel à une vitesse de deux cent cinquante kilomètres/heure afin d’effectuer des missions par tout temps et à basse altitude. Cet hélicoptère revêt donc une grande importance dans le soutien des forces terrestres et/ou aériennes puisqu’il est équipé pour toutes sortes d’opérations. Sauvetage en mer (notamment d’équipages éjectés) grâce au treuil et au puissant phare avant, défense grâce à des équipements prévus pour l’armement et le parachutage, approvisionnement et transport grâce à sa capacité de charge… Le Puma se révèle indispensable sur le terrain.
Par le Lieutenant-Colonel Le Doze
12/07/2010
Créé officiellement le premier septembre 2008, l’Escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) de Nancy est une unité majeure de l’armée de l’air qui s’est construite autour de la centralisation, sous une autorité hiérarchique unique, de l’ensemble des entités assurant des missions de maintenance aéronautique, autrefois réparties au sein des escadrons de combat (EC) et de l’ESTS[1]. Cette unité employant près de six cents personnes et dont les activités diversifiées sont réalisées à partir de trois emprises géographiques majeures sur la base aérienne 133, est l’expression à l’échelon locale de la restructuration des chaînes de commandement organique et opérationnel.
PAR LE COLONEL RUTZ
La naissance de l’EATC remonte techniquement à la Déclaration Commune effectuée par les Chefs d’état français et allemand lors du Conseil Franco-allemand de Défense et de Sécurité (CFADS) du 30 Novembre 1999: ce dernier doit se lire à la lumière de la déclaration du CFADS du 9 Juin 2000, dans laquelle la France et l’Allemagne réaffirmaient leur engagement d’acquérir en commun un nouvel avion de transport militaire (futur programme A400M) dans la continuité de la décision, prise au Conseil européen d’ Helsinki en Décembre 1999, de constituer à terme une flotte européenne d’avions de transport stratégique.
PAR LE CAPITAINE DE VAISSEAU ALAIN HEMMER
Le soutien étatique des parcs d’aéronefs de la marine repose traditionnellement sur les capacités de maintien en condition opérationnelle (MCO) réparties entre le Service industriel de l’aéronautique ou SIAé (NTI3) et les unités militaires (NTI1 et NTI2). Les activités de maintenance étaient jusqu’à présent découpées en trois niveaux techniques d’intervention (NTI): le NTI1 qui consiste en des opérations simples de maintenance réalisées par les flottilles; le NTI2 qui nécessite des moyens de maintenance complexes : les opérations de NTI2 sont réalisées dans des ateliers, dans le cas où une utilisation de bancs de tests est par exemple nécessaire, ou sur des aires de visite aménagées pour la dépose d’organes et d’éléments structuraux de l’aéronef; le NTI3, qui nécessite des moyens et des compétences industriels, tels que bureaux d’études, bancs constructeurs, ou autres. Ces trois niveaux sont maintenant réduits à deux – le NSI pour niveau de soutien industriel et le NSO pour niveau de soutien opérationnel -, et c’est tout l’objet des réformes en cours que de refléter une telle simplification et la complémentarité qu’elle suppose.
ENTRETIEN AVEC LE GENERAL ERIC ROUZAUD, COMMANDANT INTERARMEES DU SOUTIEN
SLD : Général, à la veille du dernier Retex (retour d’expérience), lequel qui finalisera onze mois d’expérimentation des bases de défense, quelles conclusions générales tirez-vous et quels sont les principaux motifs de satisfaction ?
Général Rouzaud : L’expérimentation que nous menons a confirmé la validité du concept de base de défense. Compte tenu des nombreux projets de mutualisations et de rationalisation entrepris dans le domaine de l’administration générale et du soutien commun, les bases de défense sont une véritable nécessité, car elles permettent de donner de la cohérence à un ensemble de profondes mutations.
Si l’automation du fonctionnement des drones a été bien pensée et conçue, il est un domaine où la logique n’a pas été poursuivie à son terme, à savoir celui de l’automation de leur entretien. Selon un responsable de la DARPA, l’agence de recherche militaire aux Etats-Unis (« Defense Advanced Research Projects Agency »), il est temps de réfléchir à un « système de systèmes sans intervention humaine ».
D’ici septembre 2010, toutes les garnisons du Corps des Marines basés sur le continent américain (CONUS) devraient être alimentées par Sodexo, soit 66 mess au total.
Les retours d’expérience concernant les Tigres au cours de ces six derniers mois en Afghanistan sont unanimes, quant à leur bon taux de disponibilité opérationnelle en environnement (particulièrement) hostile…