MAY 10TH WEEK EXPRESS / LA SEMAINE VUE PAR LA PRESSE ANGLOPHONE MONDIALE (3 DE 5)
3) Terrorisme : Un morceau d’Histoire raconté par les acteurs qui la firent: il y a 10 ans, la mort du leader D’Al Quaida Source: …
3) Terrorisme : Un morceau d’Histoire raconté par les acteurs qui la firent: il y a 10 ans, la mort du leader D’Al Quaida Source: …
04/11/2011 – Communiqué
Nouvelle étape dans son processus de certification, l’A400M vient de démontrer sa capacité à se poser et décoller sur pistes inondées sans que ses moteurs ne prennent l’eau.
Par Sandra Chenu Godefroy
04/07/2011 – Le PGHM de l’Isère fête ses 50 ans depuis la création du GSHM n°3.
Communiqué de la RAAF
30/05/2011 – Livraison du KC-30A Multi Role Tanker Transport à Amberley
Par Stéphane Bommert
15/06/2011 – Le patrouilleur P400 “La Rieuse” est officiellement cédé au Kenya pour assurer des missions de contre-piraterie et de surveillance de ses côtes.
Communiqué MSA GALLET
13/05/2011 – MSA GALLET remporte un Appel d’Offre de l’OTAN en gilets pare-balles tactiques pour la Marine Nationale.
Communiqué SNSM
08/06/2011 – Le Forum MER EN SECURITE a pour objectif de sensibiliser tous les « pratiquants » de la mer à la sécurité au large comme sur le littoral, et de déceler les axes de prévention à développer pour une approche plus sereine et responsable du nautisme et des loisirs maritimes
Par le Chef d’Escadron David DUBOIS / Armée de Terre
30/05/2011 –Tempêtes Lothar et Martin de décembre 1999 puis Klaus fin janvier 2009 (ravageant les forêts du sud-ouest de la France) ; tornade touchant la ville d’Hautmont et ses environs dans le nord début août 2008, Xynthia sur la façade atlantique en février 2010…
Autant de catastrophes naturelles qui ont replacé l’action de secours d’urgence des services publics au cœur des attentes des citoyens. D’autant que la récente tragédie japonaise a brusquement révélé que la population pouvait se retrouver seule et souvent démunie face à ses malheurs, tout riche, moderne et organisé que soit l’Etat nippon. Dans de telles circonstances et, plus généralement, en cas de crise majeure (non exclusivement d’origines naturelles), il apparaît que chacun doit être capable de bien réagir en complément – mais aussi parfois en s’y substituant temporairement – des forces de sécurité intérieure, des services de secours voire des forces armées appelées en renfort. L’enjeu est alors d’optimiser l’action de cette ressource humaine encore capable d’agir en situation post-traumatique. A priori peu nombreuse (elle exige un état physique et psychologique de bon niveau) et peu formée, elle ne doit en aucun cas aggraver la situation ou perturber l’intervention des services spécialisés.
Dans ce contexte, le citoyen français se trouve aujourd’hui à la croisée de deux tendances paradoxales. D’un côté, son attente envers un Etat fort, capable de régler tous ses problèmes sans qu’il ait lui-même à s’en soucier, est avérée. De l’autre, en réponse à des contraintes budgétaires de plus en plus pressantes sous la menace de crise financière, l’Etat est obligé de rationnaliser ses outils. Cela se traduit le plus souvent par des réductions d’effectifs et de moyens techniques.
In fine, le citoyen se retrouve malgré lui en première ligne, notamment en cas de crise de grande ampleur voire dans la situation extrême, mais caractéristique de « l’incertitude stratégique », d’une défense du territoire national.
Pour que la France reste apte à pouvoir faire face à une crise majeure sur le territoire national malgré la diminution du volume des forces de Défense, le citoyen, par le biais de solutions innovantes, doit réinvestir le champ de la res publica (lat. la chose publique).
Communiqué Cassidian
27/05/2011 – Le drone MALE Harfang de CASSIDIAN a été déployé depuis la BA d’Evreux au dessus de Deauville pour assurer la sécurité du 37ème sommet du G8 en France
En public, les officiels américains et étrangers expriment leur confiance dans la sûreté et la sécurité des armes nucléaires, des technologies et des matières fissiles du Pakistan.
En privé, il semble pourtant y avoir de sérieuses raisons de s’alarmer – une politique intérieure virulente, des militants séparatistes, une insurrection islamiste liée à al-Qaïda, des terroristes parrainés par l’État qui, parfois, semblent agir indépendament, des entrepreneurs nucléaires « voyous », une vague d’attentats-suicides, la radicalisation des services de sécurité, une forte animosité populaire envers les États-Unis, et l’expansion constante du programme nucléaire pakistanais.
En ce qui concerne ce dernier point, et malgré de nombreuses divergences d’opinions, le Pakistan est censé posséder près d’une centaine d’armes nucléaires et dispose déjà de matière fissile en quantité suffisante pour en produire une autre centaine. Qui plus est, en dépit de la catastrophe au Japon et des préoccupations concernant la sûreté des technologies nucléaires fournies par la Chine, le Pakistan continue de construire des installations atomiques et des vecteurs d’armes tout en restant l’un des rares États non signataires du Traité de Non Prolifération Nucléaire (TNP). Le 19 avril, le Pakistan effectuait avec succès un tir d’essai de son nouveau missile Hatf 9 : il est en mesure de lancer rapidement une attaque nucléaire contre l’Inde.
par Stéphane Bommert
17/05/2011 – Placé en sentinelle avancée dans l’océan indien, à l’entrée du canal du Mozambique, le Détachement de Légion étrangère de Mayotte (DLEM, la plus petite unité de légion) tient garnison au quartier Cabaribère, sur le rocher de Dzaoudzi.
17/05/2011 – Entretien avec Xavier Allegrini, directeur du développement, et Cédric Paternostre, responsable du pôle défense et aéronautique
C’est en 1991 qu’Eric de Tocqueville et Frank Weiser rejoints par Michel Monteillard en 1996, fondent LGM et introduisent en France le concept de société de services en Soutien Logistique Intégré (SLI). Avec près de cinq cents salariés, LGM précurseur il y a vingt ans, fait aujourd’hui autorité dans ce domaine. Rapidement, l’entreprise a étendu ses activités de conseil à l’ingénierie système, la sûreté de fonctionnement et la gestion de projet et le Maintien en Condition Opérationnelle.
Dans l’entretien ci-dessous, Xavier Allegrini, directeur du développement, et Cédric Paternostre, responsable du secteur défense et aéronautique chez LGM, témoignent des spécificités et de la diversité d’une spécialité en mutation et exercée à la croisée de tous les acteurs du soutien (donneurs d’ordres, grands maîtres d’œuvre, «petits » industriels). La société a fortement diversifié ses secteurs d’intervention et procède pour ses clients de la défense, des transports, de l’énergie et de l’automobile à une «redistribution » des meilleures pratiques. Un positionnement que seule une société de services indépendante et focalisée sur quelques niches métier est en mesure d’avoir et dont elle fait également profiter les PME du secteur défense.
SLD : Comment décririez-vous l’identité propre de LGM dans un contexte de forte évolution des métiers du soutien ?
Xavier Allegrini : LGM est une société de services à l’industrie caractérisée par la complémentarité de différents métiers, tels que le Soutien Logistique Intégré, la Maîtrise des Risques, le management de programme, l’ingénierie des logiciels embarqués et des systèmes de test. C’est cette complémentarité qui permet à LGM d’offrir des solutions globales à ses clients en termes d’études et de réalisation de soutien logistique. Avec la prise en compte des nouvelles technologies de l’information, LGM développe et réalise aussi des solutions de documentation électronique interactive lui permettant de concourir à la réalisation d’un support logistique plus performant.
Cédric Paternostre : En ce qui concerne l’activité « logiciel », nous ne sommes pas éditeur de solutions. Nous intervenons en matière de soutien avec une offre outillée et une méthodologie à même de répondre à une problématique client donnée. Nos technologies sont simples, mais innovantes.
06/05/2011 – Vu sur le site Mer et Marine
Par le Général Alain Faupin
02/05/2011 – Au regard des évènements qui, depuis décembre dernier, se succèdent au sud de la méditerranée et dans le monde arabo-musulman en général, il faudrait être bien naïf pour croire qu’ils n’affecteront l’Europe que marginalement. En effet, bien peu d’études mettent en évidence l’impact prévisible, à court, moyen et long termes, les retombées des séismes politiques auxquels nous assistons en ce moment, sans savoir d’ailleurs s’ils se limiteront aux régimes qui ont été touchés, à ce jour, par les vagues insurrectionnelles et obligés d’y céder. Combien d’États, dans ces conditions, continueront à fonctionner, garants des accords passés dans de multiples domaines avec l’Union européenne ou, bilatéralement, avec les États européens ? Combien modifieront leur constitution dans un sens démocratique ? Combien se retrancheront derrière des attitudes plus défiantes ? Combien s’inspireront plus directement de l’Islam ? Ira-t-on vers une forme d’Union, souvent rêvée, du Maghreb et du Machreck arabes ? Nous pourrions remplir cette page de questions sans apporter, évidemment, le moindre début de réponse. Il est trop tôt, en effet, pour tirer les conséquences de mouvements qui n’ont pas encore trouvé leur terme.
Mais il n’est certes pas trop tôt pour en analyser les causes et pour essayer d’en imaginer les prolongements et les retombées locales, régionales et internationales. Sans doute aurait-il fallu, en partant de l’observation simple que rien n’est jamais acquis pour l’éternité, le faire plus sérieusement avant ces crises qui ont pris tout le monde de court, tant en Europe et dans le monde que dans les PSDM (pays du Sud de la Méditerranée), tant au sein des chancelleries que dans les services diplomatiques et de renseignement. Tout est éphémère et l’Histoire se charge de nous le rappeler: les grands évènements ont toujours chevauché la surprise. Souvent, pourtant, des études existaient qui montraient avec clarté et prémonition les facteurs de risque, les dangers imminents et les menaces latentes. Souvent aussi, les Etats ne souhaitent pas se sentit contraints et se voir forcer la main par des évaluations qui mettent en question l’échafaudage instable de leurs relations internationales, combinaison improbable de commerce, de contacts personnels, d’échanges industriels, de culture partagée, de flux démographiques et financiers. Tant que la situation des droits humains ne le justifie pas, l’on s’en tient au statu quo, même quand on sait que l’orage gronde et que les plaques tectoniques, sociales et politiques, commencent à bouger. Mais là n’est plus le débat.
Par Manuella Benquey – Le Vaillant
12/04/2011 – Conférence
« Comment l’Armée de Terre doit-elle se préparer aux engagements de demain ? » Tel était le thème des cinquièmes rencontres Terre-Défense, organisées par le think tank «Défense & Stratégie », qui se sont tenues à l’Assemblée Nationale le 1er mars dernier.
Par Jean-Marc Tanguy
06/03/2011 – Le mémorial La Fayette de Marne-la-Coquette (Hauts de Seine) traverse une passe difficile.
Par Virginie Lecat
19/02/2011 – Conférence de presse
Rockwell Collins, industriel américain spécialisé dans l’avionique et l’organisation des technologies de l’information militaire a ouvert début février 2011 des bureaux à Paris exclusivement consacrés à l’Europe, au Moyen Orient et à l’Afrique.
Mission: Les cellules C2I et C2I.PC sont des structures mobiles intégrées à un véhicule porteur préparé sur mesure. Elles permettent d’intervenir rapidement dans des zones …
Mission Le module LBBD est la première structure mobile au monde dans le domaine NRBC intégrant un laboratoire de haute sécurité pour le diagnostic rapide …
Mission: Le module MDBD est une structure sécurisée permettant le traitement et la décontamination d’un grand nombre de victimes en un minimum de temps (80 …
Mission: L’hôpital déployable de campagne (HDC) est une structure mobile, modulaire et aérotransportable capable de couvrir l’ensemble des besoins médicaux dans tout contexte opérationnel particulier …
Mission Les modules de traitement d’eau MTE et MTE.Lab. sont destinés à la fourniture d’eau potable au cœur des zones sinistrées, difficiles d’accès et dans …
Mission Ce module est destiné au stockage, à la réfrigération et au conditionnement (bouteilles, sachets…) de l’eau potable produite, avant sa distribution et sa consommation. …
Mission Ce matériel permet à un détachement d’intervenir rapidement, par voie routière ou aérienne, sur une intervention à caractère NRBC.Le détachement est équipé de matériels …
Par Richard Weitz,
Directeur du centre d’analyse politico-militaire au Hudson Institute, Washington, D.C.
05/01/2011 – Alors que la France s’apprête à accueillir le sommet du Groupe des Huit pour la sixième fois, la question de l’avenir du G8 sera un enjeu important sur lequel le gouvernement français devra se pencher au cours de l’année 2011. Depuis le sommet de Pittsburg, en septembre 2009, quand le G20 a acquis son titre de « principal forum économique mondial », le G8 a dû redéfinir son rôle face à l’influence sans cesse grandissante des pays émergents. Plusieurs analystes ont exprimé le désir d’abolir le G8 maintenant que le G20— qui se tient également en France en 2011—assure la gérance de l’économie mondiale. Or, réduire le G8 à ses fonctions économiques revient à négliger sa pertinence dans le domaine sécuritaire. Depuis les années 1980, le G8 a été à la source d’initiatives de paix et la sécurité. À l’inverse, le G20 ne possède pas les outils qui ont rendu le G8 efficace dans la gestion de la sécurité internationale.
Dans cette dernière section, les auteurs examinent les perspectives internationales en matière d’astronautique: le rôle des Etats-Unis comme catalyseur potentiel d’un programme international d’exploration de la Planète Rouge, représentant pour les auteurs le “destin cosmique de l’humanité”, y est souligné.Les applications spatiales militaires sont une pièce de plus dans le puzzle de la puissance américaine. Mais il existe aussi des utilisations civiles des satellites, qui ont joué un grand rôle dans les évolutions de la civilisation sur la Terre au 20ème siècle. L’avènement du « village global » de McLuhan a été rendu possible par le réseau global de télécommunications spatiales, constitué en 1968. La prise de conscience écologique a été en partie suscitée par les images de la petite et magnifique « planète bleue » sur le fond noir du cosmos, prises par les astronautes du programme Apollo en 1968, et faisant apparaître la Terre comme un « objet perdu » dans l’univers, unique et devant être à tout prix préservé.