Le Module de Stockage et de Conditionnement de l’Eau (MSCE)
Mission Ce module est destiné au stockage, à la réfrigération et au conditionnement (bouteilles, sachets…) de l’eau potable produite, avant sa distribution et sa consommation. …
Mission Ce module est destiné au stockage, à la réfrigération et au conditionnement (bouteilles, sachets…) de l’eau potable produite, avant sa distribution et sa consommation. …
Mission Ce matériel permet à un détachement d’intervenir rapidement, par voie routière ou aérienne, sur une intervention à caractère NRBC.Le détachement est équipé de matériels …
Par Virginie Lecat
19/02/2011 – Conférence de presse
Rockwell Collins, industriel américain spécialisé dans l’avionique et l’organisation des technologies de l’information militaire a ouvert début février 2011 des bureaux à Paris exclusivement consacrés à l’Europe, au Moyen Orient et à l’Afrique.
Par Richard Weitz,
Directeur du centre d’analyse politico-militaire au Hudson Institute, Washington, D.C.
05/01/2011 – Alors que la France s’apprête à accueillir le sommet du Groupe des Huit pour la sixième fois, la question de l’avenir du G8 sera un enjeu important sur lequel le gouvernement français devra se pencher au cours de l’année 2011. Depuis le sommet de Pittsburg, en septembre 2009, quand le G20 a acquis son titre de « principal forum économique mondial », le G8 a dû redéfinir son rôle face à l’influence sans cesse grandissante des pays émergents. Plusieurs analystes ont exprimé le désir d’abolir le G8 maintenant que le G20— qui se tient également en France en 2011—assure la gérance de l’économie mondiale. Or, réduire le G8 à ses fonctions économiques revient à négliger sa pertinence dans le domaine sécuritaire. Depuis les années 1980, le G8 a été à la source d’initiatives de paix et la sécurité. À l’inverse, le G20 ne possède pas les outils qui ont rendu le G8 efficace dans la gestion de la sécurité internationale.
Par Virginie Lecat et Olivier Azpitarte
22/12/2010 –Le 15 décembre dernier s’est tenu à Paris le premier Forum sur la sécurité du Golfe pour faire le point sur les stratégies des différents protagonistes régionaux. Au cœur de toutes les inquiétudes, l’Iran justifie aujourd’hui une course à l’armement dans laquelle les intérêts occidentaux ne sont pas étrangers.
23/11/2010 – Vu sur le web
Deux pilotes se retrouvent à Kandahar : un Américain sur …. Mirage 2000D et un Français sur…. A10.
Entretien avec l’IGA Labrande, directeur central du SSF
27/10/2010 – “Notre mission consiste à assurer la disponibilité technique des bâtiments en maîtrisant les coûts et contribuer ainsi à satisfaire les contrats organiques et opérationnels. Pour ce faire, nous mettons tout en œuvre pour garantir le meilleur niveau de professionnalisme dans l’exercice de la fonction de maître d’ouvrage du MCO naval et des pyrotechnies. L’objectif fixé par l’Etat Major de la Marine est une disponibilité technique de la flotte supérieure à 70 %. Cela signifie qu’en moyenne chaque bâtiment est disponible plus de 70 % du temps ou que chaque jour plus de 70 % de la flotte est disponible. Cet objectif est régulièrement atteint depuis 2007.”
Par le Lieutenant-Colonel Le Doze
02/10/2010
Parmi les projets en cours, l’un mérite plus particulièrement qu’y soit consacré un développement un peu plus large, car il se révèle structurant pour la réussite de l’objectif qui demeure la certification. Ce projet concerne la création d’une entité de soutien logistique directement adossée à l’ESTA et située géographiquement au plus près des activités de maintenance ou de mise en œuvre. Une division de ravitaillement et de soutien des utilisateurs (DRSU) verra ainsi prochainement le jour, laquelle restera hiérarchiquement dépendant de l’ESRT, mais sera rattachée fonctionnellement à l’ESTA au profit duquel elle exercera l’ensemble des ses prestations de service.
02/10/2010
Le 8 novembre, un nouveau site, Focus-Défense, sera en ligne pour vous proposer « l’actualité des forces armées françaises et des métiers militaires ».
Ici, c’est la province de Kapisa, en Afghanistan, une zone sous responsabilité de l’armée française, où les combats et les utilisations d’engins explosifs par les insurgés sont fréquents.
Par le Général Jean-Patrick Gaviard
Le terme « systèmes de systèmes » correspond à première vue à un acronyme abscons. Ce vocable recouvre pourtant une réalité somme toute assez simple : la mise en réseau de plusieurs systèmes, qui vont ainsi pouvoir échanger informations et données en temps réel. L’objectif : obtenir une synergie opérationnelle plus efficiente.
S’agissant de la mise en réseau proprement dite, les Américains – qui ont pris de l’avance dans ce domaine – mettent l’accent sur le vocable « NCW » (” Net Centric Warfare”), tandis que l’OTAN a retenu celui de « NEC » (“Network Enabled Capability”). La différence sémantique est très sensible, puisque dans le premier cas le réseau est vu comme un point focal (« Centric ») au sein du dispositif opérationnel, tandis que dans le second il est identifié comme une capacité de soutien (« Enabled ») aux opérations. En choisissant de mettre en avant le « NEC », les Européens soulignent que l’homme reste au cœur du dispositif des systèmes complexes.
Selon l’Amiral Guillaud, “La stratégie de l’OTAN en Afghanistan n’est pas remise en cause”
Par Amélie Spire
Le Puma attire l’attention par son âge et son importance au sein des armées. Appartenant à la catégorie dite des transports légers, cet hélicoptère doit satisfaire à des objectifs précis pour mener à bien des missions variées. Il doit pouvoir transporter douze hommes et trois cent kilos de matériel à une vitesse de deux cent cinquante kilomètres/heure afin d’effectuer des missions par tout temps et à basse altitude. Cet hélicoptère revêt donc une grande importance dans le soutien des forces terrestres et/ou aériennes puisqu’il est équipé pour toutes sortes d’opérations. Sauvetage en mer (notamment d’équipages éjectés) grâce au treuil et au puissant phare avant, défense grâce à des équipements prévus pour l’armement et le parachutage, approvisionnement et transport grâce à sa capacité de charge… Le Puma se révèle indispensable sur le terrain.
“Depuis plusieurs années, la médicalisation du secours en mer est devenue une véritable spécialité sur la base d’aéronautique navale de Lanvéoc-Poulmic….”
Par le Lieutenant-Colonel Le Doze
12/07/2010
Créé officiellement le premier septembre 2008, l’Escadron de soutien technique aéronautique (ESTA) de Nancy est une unité majeure de l’armée de l’air qui s’est construite autour de la centralisation, sous une autorité hiérarchique unique, de l’ensemble des entités assurant des missions de maintenance aéronautique, autrefois réparties au sein des escadrons de combat (EC) et de l’ESTS[1]. Cette unité employant près de six cents personnes et dont les activités diversifiées sont réalisées à partir de trois emprises géographiques majeures sur la base aérienne 133, est l’expression à l’échelon locale de la restructuration des chaînes de commandement organique et opérationnel.
Les pirates s’adaptent “Une nouvelle forme de piraterie est en train de voir le jour autour de la péninsule arabique. Alors que les flottes de …
Réduire les risques de perte et accroître l’efficacité des largages sont bien entendu les préoccupations premières des autorités militaires, d’où l’idée d’allier le principe du LCLA avec celui du drone.
PAR LE CAPITAINE DE VAISSEAU ALAIN HEMMER
Le soutien étatique des parcs d’aéronefs de la marine repose traditionnellement sur les capacités de maintien en condition opérationnelle (MCO) réparties entre le Service industriel de l’aéronautique ou SIAé (NTI3) et les unités militaires (NTI1 et NTI2). Les activités de maintenance étaient jusqu’à présent découpées en trois niveaux techniques d’intervention (NTI): le NTI1 qui consiste en des opérations simples de maintenance réalisées par les flottilles; le NTI2 qui nécessite des moyens de maintenance complexes : les opérations de NTI2 sont réalisées dans des ateliers, dans le cas où une utilisation de bancs de tests est par exemple nécessaire, ou sur des aires de visite aménagées pour la dépose d’organes et d’éléments structuraux de l’aéronef; le NTI3, qui nécessite des moyens et des compétences industriels, tels que bureaux d’études, bancs constructeurs, ou autres. Ces trois niveaux sont maintenant réduits à deux – le NSI pour niveau de soutien industriel et le NSO pour niveau de soutien opérationnel -, et c’est tout l’objet des réformes en cours que de refléter une telle simplification et la complémentarité qu’elle suppose.
ENTRETIEN AVEC LE GENERAL ERIC ROUZAUD, COMMANDANT INTERARMEES DU SOUTIEN
SLD : Général, à la veille du dernier Retex (retour d’expérience), lequel qui finalisera onze mois d’expérimentation des bases de défense, quelles conclusions générales tirez-vous et quels sont les principaux motifs de satisfaction ?
Général Rouzaud : L’expérimentation que nous menons a confirmé la validité du concept de base de défense. Compte tenu des nombreux projets de mutualisations et de rationalisation entrepris dans le domaine de l’administration générale et du soutien commun, les bases de défense sont une véritable nécessité, car elles permettent de donner de la cohérence à un ensemble de profondes mutations.
L’an dernier, le secrétaire de la défense Robert Gates avait déjà annoncé son objectif de revenir à un taux d’externalisation en matière de services au niveau antérieur à 2001, soit 26% des effectifs de son ministère contre 39% sous George Bush.
Avec la densification du réseau international, les entreprises demandent avec raison un niveau de langue soutenu devant permettre à leurs ingénieurs de participer au vaste système d’échanges qui se tisse mondialement.
PAR LE GENERAL JEAN-PATRICK GAVIARD
“Les opérations aériennes ont toujours fait l’objet d’un suivi politique serré. Le choix des cibles ou ciblage des objectifs a été, depuis la guerre du Vietnam, le moyen privilégié des responsables politiques pour exercer ce contrôle. Au Kosovo, pendant l’opération « Allied Force », nous avons connu de nombreuses contraintes politiques s’agissant du ciblage planifié. Sur ce chapitre, j’ai deux exemples concrets à évoquer : le premier concerne les attaques des ponts sur le Danube dans le centre de Belgrade; le second les objectifs situés sur le terrain de Podgorica au Monténégro, lesquels furent attribuées par les planificateurs du Centre d’opérations aux Mirages 2000D lors de la première mission du 24 mars 1999.Ces deux exemples me permettront d’illustrer concrètement le fonctionnement de la chaîne de contrôle nationale, depuis le niveau opératif situé sur le théâtre d’opérations, en l’occurrence à Vicenza en Italie, où je me trouvais au sein du centre de commandement et de conduite, jusqu’au niveau stratégique représenté par le Chef d’état major des armées et bien sûr le Président de la République à Paris.
S’agissant des ponts du Danube dans Belgrade, la séquence se situe à la fin de la campagne ou presque, c’est-à-dire au mois de mai 1999 (la campagne aérienne se terminera le 11 juin). Le général Mike Short, commandant de l’opération, avait proposé d’attaquer les ponts sur le Danube dans le centre ville, c’est-à-dire dans Belgrade même, pour comme il le disait alors « couper la tête du serpent ». Cette proposition fut très mal accueillie, en particulier, par le Président J. Chirac, qui savait qu’après la crise et le départ de Milosevic, il faudrait renouer le dialogue avec les Serbes. Car détruire les ponts sur le Danube dans Belgrade, c’était anéantir un symbole politique, culturel et économique. Le Danube est, en effet, comme chacun le sait ici un véritable cordon ombilical reliant de nombreux pays d’Europe centrale. L’unanimité étant de règle au sein de l’Alliance et le Président français ayant mis son veto, les ponts dans Belgrade furent épargnés. Il fallut bien sûr que le Président Chirac explique cette décision au Président Clinton, le Général Kelche au Général W. Clark alors Saceur, et moi-même au Général M. Short. Ce qui ne fut pas facile comme on peut l’imaginer aisément. Illustration concrète qu’au sein d’une coalition, il existe généralement des visions stratégiques différentes et qu’il convient donc de traiter ce problème en amont au risque de faire exploser ladite coalition. J’y reviendrai dans quelques instants.
La Saône-et-Loire était le lieu de passage d’une grande partie de l’armée allemande et de sa logistique, vers le sud et le sud-est, puis lors de son repli en 1944. Du 9 au 11 avril 2010, l’Association Maison de la Résistance et de la Libération du Chalonnais organise une « Opération Maquisards » permettant à ceux qui s’intéressent à l’histoire militaire de la seconde guerre mondiale de chercher l’ambiance des maquis de la Bourgogne du sud.
Cette dernière séquence montre la fin du parcours de la rame franco-américaine jusquà l’endroit où se déroule l’exercice de déminage, puis l’exercice en lui-même.
L’une des qualités du site “Theatrum Belli” est qu’il offre un tour d’horizon de nombreuses publications relatives aux questions militaires: on y trouve ainsi actuellement une présentation de la Légion étrangère 2010, dans laquelle est inclu un premier bilan de la Base de défense d’Aubagne et de son Groupe de soutien (GSBdD).
Dans cette dernière section, les auteurs examinent les perspectives internationales en matière d’astronautique: le rôle des Etats-Unis comme catalyseur potentiel d’un programme international d’exploration de la Planète Rouge, représentant pour les auteurs le “destin cosmique de l’humanité”, y est souligné.Les applications spatiales militaires sont une pièce de plus dans le puzzle de la puissance américaine. Mais il existe aussi des utilisations civiles des satellites, qui ont joué un grand rôle dans les évolutions de la civilisation sur la Terre au 20ème siècle. L’avènement du « village global » de McLuhan a été rendu possible par le réseau global de télécommunications spatiales, constitué en 1968. La prise de conscience écologique a été en partie suscitée par les images de la petite et magnifique « planète bleue » sur le fond noir du cosmos, prises par les astronautes du programme Apollo en 1968, et faisant apparaître la Terre comme un « objet perdu » dans l’univers, unique et devant être à tout prix préservé.
Le Centre Belfer pour les Sciences et les Affaires Internationales de l’école Kennedy de l’Université d’Harvard, a publié en janvier 2010, un rapport intitulé «La Menace Al Qaeda et les Armes de Destruction Massive: Mythe ou Réalité?».